7. Cinéma

Ce projet est né, pendant la pandémie de covid, de la volonté de garder une trace et de transmettre la mémoire de quelques anciens du village de Lury-sur-Arnon, proche de Vierzon. À l’initiative conjointe de l’association Lury Passion Patrimoine et de la spécialité cinéma audiovisuel du lycée Édouard Vaillant, un groupe de jeunes cinéastes en herbe est allé à la rencontre de ces anciens du village, et de leurs paroles riches d’expérience et d’humanité.
En voici le retour, rendu possible par le soutien de la Région Centre Val-de-Loire..

Derek Jarman (1942 _ 1994, Londres) est un artiste polyvalent – peintre, réalisateur, scénariste, écrivain, musicien, acteur – qui a laissé une œuvre multiple et foisonnante. De son premier long métrage entièrement tourné en latin (Sebastiane, 1976) à son dernier film Blue (1993) dont l’écran montre un monochrome bleu immuable, il n’a cessé d’expérimenter et d’explorer différentes matières, de jouer avec les anachronismes et de se jouer de la narration. Il a réalisé des longs métrages, de nombreux courts tournés en super 8, ainsi que de nombreux clips pour la scène musicale britannique.
 
Homosexuel et militant, il questionne l’absence de représentation de l’homosexualité et revisite sous un prisme queer des figures historiques telles que Saint Sebastien, Le Caravage, Edouard II … Il est le premier artiste anglais à déclarer publiquement sa séropositivité, en 1986, tandis que la gestion catastrophique du SIDA était largement entachée d’homophobie. Il n’hésite pas à critiquer les années Thatcher et sa politique ultra libérale : en 1988, il réalise le film The Last of England, qui dénonce les violences politiques, sociales et psychologiques qui en découlent.
De son militantisme a émergé de nombreux textes, films et peintures. Il consacre une série de toiles –  Les GHB paintings et les Queer paintings – à l’homophonie et à la diabolisation des malades du sida véhiculés par les journaux britanniques. Son dernier film, Blue, réalisé quelques temps avant sa mort et composé d’une bande sonore diffusée sur un écran bleu, évoque son récit de séropositif.

A partir de 1986, Derek Jarman commence à travailler avec Tilda Swinton pour son film Caravaggio, qui inaugurera 8 ans de collaboration. Le film Eward II lui vaut la coupe Volpi de la meilleure actrice à la Mostra de Venise en 1991.

SPÉCIALITÉ CINÉMA AUDIOVISUEL DE TERMINALE 2021-2022 : La Sixième Extinction (36’08’’)
Sous les pressions conjointes des événements sanitaires et du calendrier du baccalauréat, nous avons décidé – enseignant, élèves de terminale et intervenants professionnels – de conduire un type de production concentré dans le temps (deux jours de tournage pour raconter quatre histoires), débouchant sur la réalisation d’un film choral. Théâtralisé par les unités de lieu (l’internat du lycée) et de temps (à peine 24 heures de la vie de quelques élèves), le film déroule des épisodes contrastés, liés entre eux par un récit fil rouge déroutant. L’idée mobilisatrice des différentes histoires a été celle de l’altérité, du rapport avec l’autre, à côté ou à l’intérieur de soi. Et si c’est la noirceur qui par moments l’emporte, le film joue aussi sur une ironie ludique et vitale.

Résidence de montage. Ce film a été réalisé avec le soutien de Antre Peaux. 
Film de Laurent Martin, Julien Poisson et Théo Deruchon.

Synopsis
Copacabana, Colombie. Dans une maison, retranchée dans les hauteurs de Medellín, une communauté s’essaie à l’élaboration de techniques psycho-thérapeutiques. Au carrefour entre mysticisme et thérapie systémique –  à la fois patients et thérapeutes – c’est à la refonte d’un système d’interactions qu’œuvrent les protagonistes. La rencontre avec une équipe de tournage curieuse de leurs activités va alors modifier les habitudes et perceptions de chacun.e.s

Introduction 
En 2017 en Colombie, se forme une communauté de voyageur.euse.s d’Europe et d’Amérique autour de l’expérimentation de techniques de psycho-thérapie. S’inspirant de divers courants de la psychologie systémique et alternative, les membres de la communauté décident de consacrer leur temps à l’expérimentation et l’élaboration de nouvelles techniques. Recluse depuis 2018 dans une grande Finca sur les hauteurs de Medellin, les 25 membres de la communauté consacre l’entièreté de leur temps a cette activité, alors centrale dans le quotidien collectif.

Fruit d’une rencontre entre une petite équipe de tournage et cette communauté nouvellement créé en 2018, recluse dans les hauteurs de Medellín, ce film d’immersion tente de rendre compte de la vie et des pratiques de cette communauté. La communauté tentant à cette période de s’ouvrir vers l’extérieur, le film met en scène la rencontre entre l’équipe de tournage, les membres de la communauté et divers protagonistes venu.e.s à leur rencontre.

« Chères amies, chers amis, valeureuses accointances, vagues connaissances et agréables inconnu-es,
Ce furent deux années étranges. Et celle-ci s’annonce non moins bizarre.
S’il y a une leçon qu’il nous faut retenir de ces deux dernières années, c’est que tout ça — cette humanité que l’on croyait acquise — est encore bien plus fragile qu’on ne l’avait pensé. Et notre réponse face à cette donnée ne peut pas être, ne doit pas être, les montées de droites extrêmes, racistes, sexistes et xénophobes.
 
C’est le nouvel an, et vient avec lui l’idée des bonnes résolutions habituelles. Plutôt qu’abandonner ces bonnes résolutions dès la mi-janvier, voyons là une opportunité de concevoir et de donner forme à un nouveau monde. Et prenons-y du plaisir. Un sourire aux lèvres, c’est avec désir et joie que nous entamerons la construction imaginale d’un autre monde, un monde qui ne sera pas le leur, un monde qui ne sera pas soumis à la médiocrité de leurs imaginations atrophiées. Un monde qui ne sera pas fait de peur et d’angoisse. Un monde face auquel il est si facile de s’indigner, mais face auquel il est plus difficile d’opposer de l’imaginaire. Un imaginaire renouvelé, qui se sera départi des notions malades de productivité, de rentabilité, de reconnaissance, de réussite.
Un monde où chaque minute, chaque heure, chaque jour de nos vies comptera réellement. Nous ne voulons plus d’un monde où tout ce qu’il nous restera, ce sera la mémoire du temps que nous avons passé à ne rien faire, et du temps que nous avons passé (et perdu) à vouloir commencer.
 
Un monde où nos vies ne seront plus prisonnières du joug de l’économie de marché et où ce diktat s’envolera comme une feuille morte prise dans la tempête de nos cœurs enamourés.
Au milieu de cette folie totale, alors que la société s’effondre sur elle-même dans le chaos le plus total, n’oublions pas de de créer. Sous le corps social, nos rêves tourbillonnants et nos désirs convulsés sont une usine surchauffée. Car si l’on n’est jamais assez triste pour que le monde soit meilleur, celui-ci n’est jamais assez beau pour que nous arrêtions de rêver.
Et si ton cœur désespère, n’oublie jamais, ami, que c’est au cœur de la nuit, dans l’obscurité la plus profonde et la plus dense, que l’on peut voir les étoiles.
 
William Burroughs a dit : « L’intégralité du système existant peut être évacuée par le rêve si l’on trouve assez de personnes pour rêver au niveau de Gysin. »
Je l’écrivais il y a quelques années déjà, mais ceci est encore plus d’actualité que jamais : rêvons dangereusement, outrageusement, et faisons en sorte que quelque chose qui n’existait pas avant nous, qui n’existerait pas sans nous, arrive.
Donc cette année, mon souhait pour chacun de nous est donc des plus petits et des plus simples : Rêvons. Opposons de l’imaginaire à leur imaginaire. Libérons, relâchons, déchaînons nos imaginaires. Et jetons en l’air la poussière de ce monde cage que nos cœurs ne peuvent plus supporter.
« Our love can destroy this whole fucking world. » —Tetsuo
 
Votre dévoué,
Vincent Capes »
Programmateur, fondateur et pilote de Zo – Anima à Nîmes.
 
Anima nous proposera un programme Hacker le réel les 3 et 4 juin 2022. Programme à découvrir ici : https://antrepeaux.net/hacker-le-reel/

Mes ailes sont prêtes à s’élancer

Tant j’ai plaisir à revenir

Car à rester le temps de vivre

Mon bonheur irait s’amoindrir

Gershom Sholem

 

Production Dovfilm et Bandits-Mages

avec la participation de Bruno Tackels

textes : Walter Benjamin.
Image : Antoine-Marie Meert.
Montage : Isabelle Carlier.
Production : Dovfilm, Bandits -Mages, Châteauroux-Underground.
avec laide du Studio national des arts contemporains Le Fresnoy,
du CNAP, de la DRAC Centre, des rencontres cinémato graphiques de Cerbère.

Hd couleur  Belgique-France-Espagne  2011-2014 – 46 minutes

 

TEASER

 

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Screenplayer and Director: Graeme Cole

Artistic Director: Aleksandra Niemczyk

All informations: https://alltheworldsmusicever.com/

An EMAP Residency emare.eu supported by Europe Creative

 

 

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During the Rencontres Mondes Multiples 2020the artist Konrad Korabiewski presented us his current project: Krafla.
While he should have been in residence for 2 months in Bourges as part of our partnership with the EMAP-EMAREnetwork, it is online that were, for this time, presented the artist and his work.

Konrad Korabiewski · Skeyti

A cinematic soundscape and highly atmospheric composition, reflecting distinct Icelandic circumstances, and including recordings of an old Morse code message from 1976
Winning piece of the international sound art competition "Europe - A sound panorama" 2011.

Krafla is both a sound and visual work resulting from recordings made at the geometric power plant of Krafla, Iceland. Listening to the calderas (cauldron in Portuguese) and the song of the drillings, Konrad Korabiewski records and draws the muffled noises of this volcanic region up to 4m deep.

A new creation residency is scheduled for the fall of 2021 in Bourges. During 2 months, Konrad Korabiewski will continue its work on the project Krafla by taking advantage of the 16mm editing table given to Antre Peaux by Boris Lehman.

 

Skálar | Sound Art | Experimental Music · Anna Friz | Konrad Korabiewski | Krafla (New York Times Magazine edit)
 

Audio field recordings: Anna Friz & Konrad Korabiewski, for the publication of Sonic Voyages published on 22/09/18 in the NYT Magazine.

This project was relayed in the fall of 2018 by the New York Times Magazine in an article entitled "Sonic Voyages Issue"In this book, the author describes his travels around the world, in areas that constitute particular environments and soundscapes, including Iceland, with reference to the field recordings made by Anna Friz and Konrad Korabiewski.

Photo presentation : Anna Friz
Project, music and realization in 2020/2021: Konrad Korabiewski

Presentation of the KRAFLA project (in progress) at the Werkleitz festival, Halle (Germany)

 

 

In November 2020 the media MAKERY meets the artist: an immersion in his creative environment.

Dans les entrailles de la Terre Mère avec Konrad Korabiewski (FR)

Dans cette création, l’acteur de 120 battements par minute, d’Un couteau dans le cœur et de Sauvage Felix Maritaud (qui a étudié à l’école des Beaux-Arts de Bourges) nous invite à un voyage égo-complètement-trippé au sein de la nouvel trilogie des oeuvre de Guillaume Dustan publié chez P.O.L (Oeuvres II (2021)). Entre lecture, auto-fiction et finalement point d’accroche entre un auteur et son lecteur, Félix nous transporte entre commentaire sur le monde, sur l’amour de soi et l’amour de l’autre. 
 
 

Each year, there is one possibility out of a hundred that the Seine overflow, the authorities have implemented a contingency plan in case of a flood called “Plan Neptune”. The disaster doesn’t occur today more often than yesterday, but it always ends up happening. When it happens, there are only two figures who are not affected by the collapse of the social structure: the mad and the wise. Those who don’t try to run away or cheat death but wait for it in ecstasy. Between the two, are situated the Zouave, the guardian of the temple, it is the one who, despite the desperate situation, is scatterbrained enough to conclude his mission, with fantasy as sole lifeline.
 
PRODUCTION
BANDITS-MAGES and TAMARA FILMS
 
CREDITS
Film maker: Simon Fravega
Images : Marie Losier
Editing: Théophile Gay-Mazas
Sound: Alix Gastineau
Sets design: Marc Sausset
Mixing: Quentin Aurat
Calibration: Yannig Wilmann
 
PERFORMERS
Fantazio
Jackie Raynal
David Legrand
Gérald Kurdian
Claire Doyon
Fabrice Cotinat
 
ORIGINAL MUSIC
Fantazio
Antonin Tri-Hoang
Francesco Pastacaldi
 
TECHNICAL SHEET: 
Duration: 29min52sec
Color: colors
Image : 16:9
Sound: Stereo
Movie original language: French
Subtitled version: English
Type of movie: Experimental fiction, artist movie
End of production date: March 2021
Production country: France
 

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Focus on the Belgian film maker Boris Lehman, whom we are happy to welcome regularly at the Antre-Peaux.

Film directing: Philippe Zunino.
Production: Bandits-Mages – 2011

Everybody will tell you: Boris Lehman is a first-person film maker. He is part of this mythical and nice family of which are also part the brothers or cousins Brakhage, Mekas, Morder, De Bernardi, Noren, Hernandez, Kawanaka, Guttenplan, Hanoun, Courant or Akerman, and which brings closer cinema, intimate literature, and self-portrait. He did everything to deserve this relationship: He has often been his own screenwriter, his own camera operator, his own film editor. He investigated himself, he did self-ethnology. He was the main actor of many of his movies, beaming lover in Couple, Regards, Positions, sweetly narcissistic investigator in Babel, using the mise en abyme (and self-mockery) in Homme portant (The carrying man), his heavier movie. Most of his movies are self-portraits, I would even say self-embalmings, thinking of this film where he is seen as “Homme de terre” (Earth man) or this other (Masque) where he has his death mask made. Yes, but Boris also welcomes others, lets them enter his movies, makes room for them close to him, in front of him, next to him. He is the author of Album 1, super 8 film of one hour, in which he films his friends and have them film him. And he just directed « Mes entretiens filmés » (My Filmed Interviews) where he asks that his critic friends talk about his film making. In short, he practices narcissism with others and his self-celebrations have a hell of a casting. After a screening of these « Entretiens filmés » at the French Cinémathèque (film library), Jean Rouch said he was struck by the way the people in it were “ridiculous and ugly”. When I saw the movie, I never stopped thinking the opposite: “Astonishing how so-and-so and so-and-so are good, they were never that good”. Boris pretends to interrogate the persons he is speaking to about himself, but it is a way to have them talk about themselves. His narcissism frees their own, makes them more confident and freer. It is no doubt the Christopher Columbus or the Sisters Tatin syndrome: you never do what you think you do, and sometimes you even do the opposite. Boris Lehman believes he is making films in the first person, but actually he may have done the best second-person cinema of the past thirty years.

Dominique Noguez

We are currently working on the photo archives of Boris Lehman.

Œuvres produites ou co-produites
de 1998 à 2019

_ « Une Lettre », Thierry Kuntzel, coproduction avec la Maison de la Culture et l’École nationale des Beaux- Arts de Bourges (1998-1999)

_ « Paris », Éric Maillet, installation numérique (1999)

_ « Au hasard Belthassar », Sammy Engramer, 12’ (2001)

_ « Catalogue sans raison », Sammy Engramer, site Internet (2001)

_ Christophe Dubois, 6’ (2001)

_ David Lino, 15’  (2001)

_ « BAADERBANK », Jean-Luc André, site Internet (2001)

_ « Fin de représentation », Renaud Auguste-Dormeuil, site internet, coproduction avec la Caisse des Dépôts et Consignations

_ « Bodydouble 17 », Brice Dellsperger, coproduction avec l’École nationale des Beaux-Arts de Bourges (2001) et la Galerie La Box

_ « Projection égocentrique POC(2) Parcours à Obstacle Cinématographique », 2001, Dispositif Super 8 et bande-son, Pascal Leroux, 0,57’

_ « Pieds nus parcourant le grenier POC(4) Parcours à Obstacle Cinématographique Dispositif vidéo et bande-son (double écran) », 2001, Pascal Leroux, 0,55’

_ « Le bond de bonne heure ou le saut du tréteau », 1997/2001, Installation sonore, Pascal Leroux, coproduction avec la Maison de la Culture de Bourges

_ « Buster suite Glissement horizontal pour traveling vertical », 2001, Dispositif super 8 et bande son, Pascal Leroux, coproduction avec la Maison de la Culture de Bourges, vidéo de 0,50’

_ « La Galerie des Monstres », coproduction avec La Berrichone du Salut, un espace d’exposition itinérant

_ « Micro situations », Marika Bührmann, une série de performances filmées (2002)

_ « Paraboles custom », Julien Celdran, installation chez les particuliers (2003)

_ « DV », Hervé Trioreau, installation en coproduction avec Emmetrop (2005)

_ « RAM », de Thierry Guibert, installation inter-active 

_ « Spectrographie », Œuvre collective, projet initié par Ewen Chardronnet

_ « Champ Libre », Pierre Bamford,

_ « L-INK», Lydie Jean-Dit-Pannel, coproduction Ars Numerica avec le soutien de l’ENSA Dijon (2008)

_ « Dialogue Fictif n°9 : Chercher Cinéma » , de La galerie du Cartable 45’ (2008)

_ « The Fallen Artist », Philippe Zunino (avec David Legrand)

_ « BUP Jardin », Nicolas BOONE, coproduction avec l’auteur, 8’42  (2008)

_ « À l’intérieur », Enna Chaton et Stephane Despax

_ « Périgrinations et autres choses », João Tabarra et David Legrand

_ « La Marelle et le épouvantails », David Legrand et Boris Lehman, coproduction DOV Films (2011)

_ « Survival Park, end of the world in Bugarach », Ewen Chardronnet et Elise Charbey, coproduction avec Labomédia, 22’ (2012)

_ « Lunaticus », Marissa Viani Serrano, Résidence EMAN#EMARE, 2’20 (2012)

_ « Les maisons Phénix renaissent toujours de leurs cendres », Sandra Emonet et Myriam Pruvot, en collaboration avec Guillaume Le Baube, photographe et OSP (Open Source Publishing), 4’40 (2011-2013)

_ « Field of broken dream », Guillaume Landron, coproduction (2012-2013)

_ « Paradox », David Legrand, Boris Lehman & Marie Losier, coproduction DOV Films (2013)

_ « Les oreilles sont des points cardinaux », projet Musical-India (échange entre la région Centre et le Tamil Nadu), coréalisation Isabelle Carlier et Fantazio, co-production Emmetrop, 60’ (2013)

_ « The Player – Cloud Berry », Bertrand et Arnaud Dezoteux, coproduction Baldanders Films, 26’24, (2014)

_ « 1973 (cellule pédagogique) », Sammy Engramer, coproduction AAAR

_  « K-9 Topology: I Hunt Nature And Culture Hunts Me », Maja Smrekar (Prix Ars Electronica) 8’36 (2014)

_ « Monts & merveilles », 2014, 45’, Cédric Michel, coproduction Sans Canal Fixe

_ « INTRUDERS », A-LI-CE et Jan Bode, coproduction CICLIC 3’17 (2014)

_ « La Maesta di Duccio », Andy Guérif et Pascal Da Rosa, production Capricci, 1h (2015)

_ « Sounding the Future », Gail Priest, Résidence EMAN#EMARE (2014-2015)

_ « Perspection », Matthew Biederman & Pierce Warnecke, Résidence EMAN#EMARE, 4’01 (2015)

_ « L’ Art de s’égarer », Boris Lehman, David Legrand, et Bruno Tackels, coproduction Dov Film, vidéo de 45’ (2015)

_ « The Temptation of St Anthony », John Sanborn, coproduction avec l’auteur, installation vidéo,35’ (2016)

_ « Phasme », Maeva Ranaïvojaona, coproduction Coktails Productions, Short Film Corner – Festival de Cannes (2016)

_ « Making Circle #7 », Magali Sanheira, 21’02 (2017)

_ « Le Zouave de Neptune », Simon Fravega (en cours de montage) (2017)

_ « Trans*Plant, ma maladie est une création artistique », film du workshop, 9’50, Isabelle Carlier et Quimera Rosa (2017)

_ « Pensées aléatoires », John Sanborn en collaboration avec Pascal Lièvre, coproduction avec l’auteur, installation vidéo (2018)

_ « Universal Ear », Graeme Cole, résidence EMAN#EMARE (2018)

_ « The Siren’s Dream », Aleksandra Niemczyk, résidence EMAP (en cours de post-production) (2018)

_ « Ecosex, User’s Manual », Isabelle Carlier, coproduction La Mule Au Web, 75’ (2019)

_ « Felix in Wonderland », Marie Losier, avec Felix Kubin, production Ecce Film, 49’ (2019)

_ « Bunny Boy’s back », The Residents (2019)

_ « Hot Bodies – Drive In », Gérald Kurdian (en cours de production) (2019)

_  « Octobre à Barcelone », Érik Bullo (2019)

_ « Circulos » de Julien Poisson, Théo Peruchon et Laurent Martin, post-production (2019)

_  « TransPlant, le film à Génialis » de Isabelle Carlier pour l’installation de Quimera Rosa (2019)

_  « Unborn 0X9 » de Shu Lea Chaeng et Ewen Chardronnet, co-production UrsuLab, La Labomédia et Makery

 

Portraits filmés

_ « Roger Cochini », par Philippe Zunino

_ « Mathieu Simon », par David Legrand (2014) 19’

_ « Le Dispositif : Pacôme Thiellement et Thomas Bertay », par Philippe Zunino

_ « Un génie sans talent », par Philippe Zunino

_ « Jean Barberis », par Julien Gasc

_ « FAIRE DE L’ART POLITIQUEMENT, QU’EST-CE QUE ÇA VEUT DIRE ? », conférence de Thomas Hirschhorn, par Philippe Zunino

_ « Solaris, Dominique Blais », par Philippe Zunino

_ « Michel Giroud, un portrait des différents états du JE », par Philippe Zunino

_ « Mon cher Philippe », par Sammy Engramer

_ « Paz Lenchantin », par David Legrand

_ « Marissa Viani Serrano Ocampo », par Philippe Zunino

_ « Bernard Stiegler », portrait en quatre volets, par Philippe Zunino

_ « Boris Lehman », un portrait, par Philippe Zunino

_ « Steve Mackay, Fun House », par Jérôme Fino

_ « The Picnic Near the Lake Shore », Hervé Coqueret, par Philippe Zunino

_ « Mécanique générale », Thierry Guibert, par Philippe Zunino

 

Catalogue de diffusion de films non produits par Bandits-Mages :

_ «Goodbye Gauley Mountains », VOSTFR film Goodbye Gauley Mountains, Beth Stephens avec Annie Sprinkle (2013), 1h10’

_ « The real life of Diana », Clément Baratte, 67’,2018

 

Editions :

_ « Méandres et Média », à propos de l’oeuvre de John Sanborn, directeur de publication : Stephen Sarrazin, 2016

_ « Bunny Boy’s Emails », The Residents, 2019


Si vous êtes intéressé.e.s par l’un des films du catalogue, envoyez un e-mail à : isabelle.carlier@antrepeaux.net. 

Une fable où Donna Haraway à bord d’un vaisseau spatial exerce notre imagination à aller en visite : visiter des mondes en train de se former, pour s’enchevêtrer. Avec, faire entendre, rendre visible et existant les êtres-compagnes qui peuplent ces mondes, tout en faisant référence à la science-fiction, aux féminismes spéculatif, ou à la science Fantasy. C’est aussi pour moi la volonté de fabriquer une histoire drôle, simple et radicale, en entremêlant les voix de mes ami.e.s et des êtres dont je me sens le plus proches avec l’esprit des auteurices qui nous racontent enfin une autre histoire de notre époque. Please, please another story, le tout jouer par des avatars numérique en 3D.

 

Les Paysages de Cristal Black, movie created at the end of a residence in partnership with Ciclic, from 2019 to 2020.

Les paysages of Cristal Black is a performed set of pieces proposed by Anne Kawala since 2016. Each of the landscapes go through issues common to the Emmetrop programming and the author. Care, anthropology, to dwell, learning, environment, to weave, desires, to join, practices. This saga stages the adventures of Cristal Black and his friends, who go back to the ancient original forest from one of the multiple cities that, interconnected, form THE city.

Club Contra-Sexuel is an on line DJ set ritual experience like an audio erotic massage to wake up the invisible bodies, the invented organs.

He combines the evocative forces of the queer science-fiction, the restorative songs of the militant feminism, the polymorphic states of club music, the sound track of a post-porno movie, maybe. Together and in a sound bath played and performed live, we dive in ourselves as in a fluid world where pleasure is expressed in multiplied forms.

Prohibited to minors under 18

 

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Ce film est une histoire queer de l’environnement ! Il prend racine dans le changement de paradigme suivant : passer de la « Terre comme mère » à la « Terre comme amante ». Un portrait des artistes Annie Sprinkle et Beth Stephens, autrices de the  Ecosex manifesto.

59′, 2014-2020

 

 

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